dimanche 14 mars 2010
"Il était capable de lire deux livres entiers le temps que j'en lise un, mais il préférait la magie de sa propre imagination"
"Ce n'est pas parce qu'on est battu d'avance qu'il ne faut pas essayer de gagner"
"La seule chose qui ne doive pas céder à la loi de la majorité est la conscience de l'individu"
"Le courage, c'est savoir que tu pars battu, mais d'agir quand même sans s'arrêter"
Harper Lee a écrit un livre, un seul et elle a gagné le prix Pulitzer (1961). Quoi écrire d'autre après un chef-d'oeuvre ?
Comprenez-moi bien, ce roman n'est peut-être pas de la trempe des Hugo ou Dostoïevski, mais c'est un livre d'une grande portée et c'est ce qui le rend, à mes yeux, si parfait, si universel (le thème fort de la justice y est sans doute pour quelque chose). Tout y est dit avec simplicité et candeur, dans une subtilité déconcertante et touchante. Par son récit, Lee accède à ce qu'il y a de plus intact en nous...cette part d'enfance et d'innocence ensevelie sous les habits lourds de la société.
Un livre brillant, d'une grande sagesse humaine. Un ouvrage qu'on aimerait avoir écrit...Oh comme j'aimerais pouvoir passer quelques heures en compagnie de ses personnages...
To Kill a Mockingbird vient d'entrer par la grande porte de mes top 5 sans hésitation!
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